L’Union populaire républicaine est née immédiatement après la révolution. Sa première action publique a été un meeting au centre culturel Menzah VI tenu le 18 février 2011 avant que le parti ne soit légalisé officiellement par un visa publié le 22 Avril 2011.
La création de L’UPR revient à Lotfi M’raihi et aux membres fondateurs qui l’ont rejoint : Leila Kallel,
Raouf M’zaba, Emna Hilali, Mahfoudh Kratou, Mansour Chekir, Mohammad Boughalleb, Habib Ferjani
et Jamila Ouertani.
Malgré la difficulté de la conjoncture et sa création récente, l’UPR s’est engagé dans les élections de
l'Assemblée nationale constituante avec 14 listes, récoltant à l’occasion environ 10 000 voix. Les
meilleurs scores ont été obtenus à Kasserine et Monastir. Par contre, il a été décidé de boycotter les
élections législatives d’Octobre 2014. En effet, l’instrumentalisation des médias et l’opacité des
moyens financiers occultes à sciemment crée une double polarisation de la vie politique. Le but était
de condamner l’électeur à n’avoir de choix que ce qu’on lui proposait.
Néanmoins, nous avons mené une campagne pour inciter les tunisiens à voter blanc. Aucun des protagonistes en lice et notamment ceux donnés favoris n’avait de programme économique crédible et digne de ce nom pour faire face aux défis et sortir le pays du marasme. Les résultats de gouvernance des vainqueurs du scrutin même après leur coalition contre nature et en trahison des promesses électorales sont là pour confirmer la justesse de notre choix
Notre parti continue à travailler avec des tunisiens patriotes et conscients des vrais enjeux à renforcer ses structures et sa présence dans les régions. Nous sommes déterminés plus que jamais à offrir à Tunisie une force politique qui porte haut et fort sa voix, celle d’un pays fort, rayonnant et souverain